Mercredi Cinéma de novembre

Cinémathèque de la ville de Paris

Projections de courts métrages à l'école

LUDOVIC - UN CROCODILE DANS MON JARDIN

Durée: 10 mn (couleurs / Sonore) - Réalisateur: Co HOEDEMAN - 2000 Canada - Film d'animation

Résumé: Ludovic, l'ourson, sort sa boîte qui est remplie d'animaux. Il les a fabriqués avec sa maman, ils sont en papier. Le ciel se gâte et vite les fait rentrer dans la maison. Il n'est pas content car les animaux lui ont fait des farces et n'ont pas étés très obéissants, surtout le crocodile. Dans la maison, les animaux préparent un pique-nique et l'ourson partage avec eux les biscuits que sa maman lui a offerts.

LA TAUPE ET LES ALLUMETTES

Durée: 5 mn (Couleurs / Sonore) - Réalisateur: Zdenek MILER - 1976 Tchécoslovaquie - Film d'animation

Résumé: La taupe sort de terre au moment où les marrons tombent des arbres. Un peu plus loin, elle découvre une boîte d'allumettes qu'elle vide de son contenu et à laquelle, avec son amie la souris, elle fait subir des transformations diverses. La boîte devint balançoire, puis bateau, avant de prendre l'aspect d'une table où les deux animaux ouvrent les marrons pour s'en faire des assiettes. Après avoir mangé, elles font de la boîte un véhicule, bientôt victime d'un accident. La souris et la taupe allument alors les allumettes et font un grand feu tandis que la nuit tombe.

SHARO DETECTIVE

Durée: 9 mn (Couleurs / Sonore) - Réalisateur: Rumen PETKOV - 1979 Bulgarie - Film d'animation

Résumé: Un vol a été commis dans un entrepôt de légumes. Sharo, le chien détective, enquête. Des empreintes de grosses chaussures le conduisent à inculper, à tort, l'hippopotame. Un nouveau vol a lieu, au même endroit, avec les mêmes empreintes. Sharo découvre alors les vrais coupables, des petits lapins qui s'étaient réfugiés à l'intérieur des grosses chaussures et les faisaient se déplacer. Une sympathique photo de famille conclut l'enquête.

BILLES A CENT FACES

Durée: 12 mn (Couleurs / Sonore) - Réalisateur: István IMRE - 1969 Hongrie - Film d'animation

Résumé: Deux boules de billard, les blanches, sont victimes du mauvais caractère de la troisième, la rouge. L'une des blanches, bousculée, tombe dans une poche de billard et se retrouve dans un théatre. Elle découvre un mannequin qu'elle utilise pour se donner une apparence humaine. Dans une loge, la boule utilisera toutes sortes de maquillages, peindra ou dessinera sur sa surface lisse, de multiples visages pour tromper la vigilance de la boule rouge qui s'est, elle,métamorphosée en militaire. La seconde boule blanche arrive à son tour, qui se transforme en fille. Après une grande bataille, où la rouge sera vaincue, les deux boules blanches pourront vivre des jours heureux et paisibles.

PICOLO LE PETIT PEINTRE

Durée: 6 mn (Noir & Blanc / Sonore) - Réalisateur: Jean IMAGE - 1961 France - Film d'animation / Photographie, cinéma

Résumé: Dessin animé d'un graphisme très simplifié, superposé sur des fonds photographiques représentant des vues de Paris. Picolo a installé son chevalet devant le Panthéon. Son dessin du monument se transforme en une pièce montée qu'il dévore. Il dessine ensuite plusieurs animaux qui effraient les passants et Picolo se trouve face à face avec un agent. Le petit peintre enfourche la bicyclette du gardien de la paix. Au jardin du Luxembourg, il saute sur un cerf-volant et s'envole, enfin libre il survole Paris.

LE TROU

Durée: 5 mn (Couleurs / Sonore) - Réalisateur: Zdenca DOITCHEVA - 1966 Bulgarie - Film d'animation

Résumé: Un homme, gambadant sur le trottoir, butte sur une pierre et tombe dans un trou. Il parvient à se dégager, remet le caillou à la même place et va se dissimuler derrière un buisson. Un deuxième personnage arrive alors qui, pour la même raison, trébuche et disparait dans le trou. Comme le premier, il remet le caillou en place et va se cacher derrière le même buisson, épiant une nouvelle victime qui ne tarde pas à se présenter. Un quatrième personnage, après sa chute, entreprendra, lui de combler le trou. Déception des trois autres derrière leur buisson qui ne voient dans son geste qu'une manifestation de  sa folie.